La publication des décrets d’application de la loi Macron sonne son entrée en vigueur. Les notaires y trouvent matière à moult critiques. En même temps, serviteurs de l’ordre public, ils doivent faire avec…

Activité historique et traditionnelle de la profession, la négociation immobilière va se trouver à nouveau en première ligne. Nécessité pour les uns, voie de développement pour les autres, beaucoup sont concernés.

Encore faudra-t-il faire avec les nouvelles technologies qui chamboulent les us et coutumes de l’activité. Faire aussi avec la concurrence nouvelle des avocats qui s’intéressent au marché, sans compter les agents immobiliers qui ne cessent de se regrouper.

Dans un tel contexte, il paraîtrait sensé que les acteurs concernés par ce marché dans l’environnement notarial jouent groupés et utilisent leur énergie à faire gagner le notariat. Las, les vieux démons ne sont pas morts. La guéguerre déclenchée par le portail contre immonot continue à faire rage. Tous les moyens sont bons pour tenter d’affaiblir le concurrent (en interne, on parle de le tuer !). Délation, mensonges, tricheries multiples et variées, on ne recule devant rien. Dommage que tant d’énergie soit utilisée à nuire plutôt qu’à apporter des services « plus » aux notaires.

Du côté d’immonot, pas question de jouer cette mauvaise pièce. On travaille tous les jours davantage pour améliorer l’existant, en innovant sans cesse. Avec l’immense satisfaction de recevoir, tous les jours, de multiples témoignages de satisfaction des études qui, grâce à immonot, continuent à vendre de nombreux biens. Par les temps (difficiles) qui courent, n’est-ce pas là l’essentiel ? Au fait, un portail a vocation à être ouvert… ou fermé ?

PJD5Pierre Duny