Dans un récent article paru dans Les Echos, Muriel Jasor termine son papier notarial par une justification inattendue et contestable du numerus clausus (mais, sans doute, la journaliste l’a-t-elle entendue ou lue sous nos panonceaux ?).
« Enfin la désignation de leur président (des notaires) est suffisamment anticipée pour immédiatement inviter à la discipline et ne poser aucun problème de légitimité ». Sur ce dernier mot, d’aucuns avancent l’idée, fort soutenable, qu’une élection au suffrage universel direct confèrerait au président du CSN une « légitimité » incomparable, et des pouvoirs réels qui pourraient lui devenir indispensables en cas de nouveau tangage…