
• de notre amie Magali Quester-Sémeon, Présidente du Groupement d’Action Judiciaire, qui a tout particulièrement apprécié notre dossier « politique fiction ».
« Bravo les notaires ! Merci de m’avoir fait rire : j’en avais bien besoin ! Vous avez la dent plus dure que la mienne ou ce qui m’en reste. Bon courage ! Embrassez Elizabeth pour moi. Je vais acheter le bouquin de votre ami Jean-Paul Gayot ».
• d’un lecteur du Lot qui encourage notre jeune Marianne (« Un avenir incertain », p 16)
« J’ai lu avec attention votre rubrique (comme les précédentes d’ailleurs) dans Notariat 2000 et je voudrais vous transmettre tous mes encouragements dans vos recherches d’emploi et d’installation en ces temps de crise profonde. Puissiez-vous garder l’espoir avec l’appui de votre famille et de vos proches. »
• de Clotilde Palot-Lory, notaire dans la Somme, qui partage le point de vue de Jean-Michel Segura (« Où est ma plume », p. 26-27) sur la complexité du règlement en matière d’attribution de la minute en cas de vente. « Excellent et combien vrai ! À votre proposition de modification du règlement, j’ajouterais : le notaire vendeur fait le compromis et constitue ; le notaire acquéreur rédige et publie. Comme cela se pratique dans certaines régions en France. Il n’y a toutefois pas que ce problème. Ainsi, en matière de succession, le notaire est celui du conjoint survivant. C’est également le cas lorsque les époux sont séparés depuis belle lurette et, qu’en plus, il est exhérédé. Le notaire de la succession est toujours celui du conjoint. Brrr ! (…) Vous pourriez sur ce sujet avoir un numéro de Notariat 2000 à lui tout seul ! »