Nous pestons souvent contre notre matériel, mais ce n’est pas forcément lui qui est en cause. Avec le couple windows/télé@ctes (auquel il faut ajouter des logiciels de plus en plus “lourds”, notre intranet sécurisé, un anti-virus…) nos ordinateurs sont aussi lents que des escargots et rament à la vitesse « d’une péniche de course »… Pour les booster un peu, deux solutions s’offrent à nous : • Tout paramétrer correctement, supprimer l’inutile et faire des nettoyages réguliers (qui le fait ?) ; • Changer de matériel et passer à des “pré-requis” plus costauds (fuyez Vista, c’est encore pire !) ; Demeure cette interrogation : pourquoi avoir “imposé” Windows ? Il faut constamment le mettre à jour, passer d’une version à l’autre, payer à chaque fois la licence, il est instable, très sujet aux virus, dysfonctionnements et piratage, extrêmement gourmand en ressources. Enfin, il est entre les mains d’une seule entreprise, qui détient ainsi une mainmise sur toute la planète. Pourquoi la profession n’a-t-elle pas recherché une solution du côté Linux ? C’est gratuit, plus fiable, peu sensible aux virus, cela ne nécessite pas la course aux machines de plus en plus performantes et, cerise sur le gâteau, quantité de logiciels gratuits peuvent y être installés ! Ce ne sont pas nos SSII qui sont en cause, elles savent utiliser Windows et Linux. Nombre de serveurs sont sous Linux. Ne craignons pas non plus les changements : certains « environnements » permettent de conserver nos habitudes « windosiennes ». Qu’attendons-nous pour ramer un peu moins ?