Le dossier de la fin de vie arrive pour la première fois devant le Conseil constitutionnel. Il s’est penché le 23 mai sur l’arrêt des traitements des patients incapables d’exprimer leur volonté. Les sages ont été saisis par l’UNAFTC, l’Union nationale des associations de familles de traumatisés crâniens et de cérébro-lésés, via une question prioritaire de constitutionnalité.