Le dossier de la fin de vie arrive pour la première fois devant le Conseil constitutionnel. Il s’est penché le 23 mai sur l’arrêt des traitements des patients incapables d’exprimer leur volonté. Les sages ont été saisis par l’UNAFTC, l’Union nationale des associations de familles de traumatisés crâniens et de cérébro-lésés, via une question prioritaire de constitutionnalité.
Fin de vie…
Partagez cet article, choisissez votre réseau !
Un commentaire
Les commentaires sont fermés.
Ah, la fin de vie, j’y ait été confronté il y a 10 ans lors du décès de mon épouse. J’avais regardé les textes alors en vigueur et constaté que quelque soit l’avis du patient, l’avis du médecin (par définition opposé au décès avant que celui-ci ne se produise « naturellement ») primait tout. Une belle hypocrisie en somme.
Je n’ai pas lu les nouveaux textes, mais je doute qu’ils soient différents de ceux dont j’avais pris connaissance, la « sage » académie de médecine et son serment d’Hippocrate (plutôt hypocrite) sont toujours là, non