Louis Reillier, le fondateur de notre revue, était un notaire humaniste.
Tout au long de sa carrière, il n’a eu de cesse de développer le rôle social et économique du notaire. Il avait cela en lui. Il a créé des moyens pour ce développement ; Notariat 2000 en est l’un d’eux…

 

Ce rôle social et économique peut s’exprimer de différentes manières.
La plupart d’entre nous le jouons au quotidien, dans nos études, dans nos villages, dans nos quartiers ou dans nos villes, dans les associations, à travers les dons de renseignements, etc.

Un autre moyen pour jouer ce rôle social et économique est le mécénat, et ce, que nous le pratiquions nous-mêmes, à titre individuel, ou que nous utilisions nos compétences alliées à notre lien privilégié avec nos clients, le tout appuyé par un maillage géographique serré…

Certes, le mécénat ne rapporte rien immédiatement… Mais ce n’est vrai qu’en apparence ! Car, ce qui en fait toute sa beauté, c’est la gratuité. C’est la générosité, c’est tout l’humanisme que nous pouvons mettre dans l’exercice de notre métier en tant que notaires impliqués non seulement dans notre cité, mais dans le monde entier.