J’ai fait un rêve…

 

J’étais tailleur de dépenses dans les budgets notariaux. Notre profession voulant avoir la main mise sur son environnement, je m’intéressais au bien-fondé des dépenses considérées comme indispensables.

• la formation par exemple : était-il nécessaire de la maîtriser puisque nos étudiants partent en grande partie à la concurrence une fois formés ?

• les inspections annuelles : l’auto-inspection n’empêche pas les défaillances et laisse planer la suspicion de copinage…

• l’environnement informatique : fallait-il créer à grands frais une société de fourniture de logiciel notarial alors que le marché est déjà pris ?

• la maison du notariat pour faire étalage de sa richesse et y loger qui ?

• Et que dire de la pléthore d’institutions notariales dont le rapport « qualité prix » n’a jamais été évalué ?

C’est alors que je me suis demandé si, malgré le caractère libéral de notre exercice professionnel, nous n’étions pas dans un système collectiviste…

 

 

Et puis je me suis réveillé…