La querelle des anciens et des modernes, aussi vieille que le monde, faisait rage entre Corneille et Racine.
Elle s’étendrait aussi dans l’art pictural. Voilà qu’elle descend dans l’arène de « la toile » avec, chez les notaires, ceux qui crient leur indignation à propos de notre pub du « notaire rappeur » et ceux qui applaudissent aux anges… Toute pub nécessite une cible qui détermine un support. On juge de son efficacité si elle atteint sa cible, qui du même coup justifie ou non son support… et son coût. Pas de panique, ne jugeons pas trop vite ! En revanche, seule une évaluation objective, bien conduite, pourra départager la querelle et permettre de récidiver ou d’oublier. Attendons donc, sereinement, la publication de cette évaluation indispensable car elle évitera le reproche récurrent de jeter l’argent par les fenêtres du CSN.