Ceux qui nous affublent d’être une revue du passé nous prédisent également une très mauvaise année 2013. Espérons que leur erreur de jugement sur le présent de notre revue le sera tout autant sur l’avenir de notre profession…
Et même si ce n’était pas le cas, même si l’avenir devait se révéler aussi catastrophique qu’on veut bien nous le laisser entendre, devons-nous succomber pour autant aux sirènes de l’apocalypse ?
Bien évidemment : NON ! Et ce pour au moins deux raisons.
La première relève de la pensée positive. Si le monde entier pense que cela va aller mieux, alors ça ira mieux. Si nous nous laissons aller à des pensées négatives, il y a fort peu de chances pour que tout aille bien. Ce mode de pensée, né aux USA et médiatisé par Louise L. Hay, a fait ses preuves. Déjà, Alain constatait que « si le pessimisme est d’humeur, l’optimisme est de volonté ».
La deuxième raison relève des opportunités à saisir. Si certains secteurs de notre activité souffrent, développons ceux qui sont restés peu exploités, créons de nouveaux secteurs d’activité.
Winston Churchill affirmait : « un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté ». Plus aucun doute ne vous sera permis, lecteurs de Notariat 2000, en 2013, soyez optimistes, et n’oubliez pas que « tout ce qui ne vous tuera pas, vous rendra plus forts… ».