J’ai fait un rêve.

 

Ma fortune me permettait d’acheter les valeurs fondamentales du notariat. Je me constituais donc un portefeuille composé :

• d’un zeste d’actions Unofi pour bénéficier sous forme de dividendes des retombées des placements que je préconisais ;

• d’un iota d’actions de plusieurs banques pour récupérer par distribution les bénéfices de celles qui auront prêté à mes clients ;

• d’une participation dans Mnémosyme pour me faire ristourner en partie les fournitures de prestations qui me seront facturées ;

• d’un petit peu d’actions Eurotunnel pour amortir le coût des voyages à Londres qui me permettent de visiter ma clientèle britannique ;

• pour la même raison, de quelques actions d’une société d’autoroutes ;

• de plusieurs actions Havas publicité en prévision de la possibilité d’une « réclame » individuelle ;

• Et surtout d’un gros paquet d’actions de la Maison du Notariat, société absolument anonyme dont la prospérité était assurée par diverses cotisations.

 

Et puis je me suis réveillé…